Même si le coeur n'est pas à la fête, cela me change du 14 mars 2010 et du 14 mars 2009 quand deux bonshommes étaient tombés. La vie ne chatouille plus autant sans les moustaches de Ferrat et n'explose plus que discrètement sans les fulgurances de Bashung.
Mais aujourd'hui c'est sa fête ! À la pas encore trentenaire qui trottinait derrière moi mais qui comme le petit cheval blanc de Paul Fort, est maintenant devant.
Bonne fête petite soeur !
Aux moustaches de Ferrat, voici celles de Papa.
Ooops ! Je recommence !
Aux moustaches de Ferrat, voici celles de Papa !
Non mais dis oh ! Non mais je te jure !!