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On connait (presque) la chanson.

On connait (presque) la chanson.

Ça me fera toujours sourire. Ça me fera toujours me demander.
Comment une chanson, en trois ou quatre minutes, peut inspirer autant de sentiments ? Bien sur, j'imagine que selon les gens ces sentiments sont ressentis plus ou moins fort.
Autant dire que pour une éponge comme moi, c'est la finale de la Coupe du Monde 1998 ou bien la mort de Coluche tous les jours... à intervalles irréguliers.

Ce dimanche j'ai pu échanger quelques mots avec ma ch'tite sœur. Quelques instants après avoir raccroché un des titres les plus tristes et émouvants (selon moi) passait à la radio. Magie du moment, j'étais si heureux d'avoir entendu la voix de ma sœur que je trouvais la chanson super positive, pas chouineuse pour un sou. Au lieu de trouver les cordes belles et tristes, je les trouvais... belles.

Tiens ce n'est pas la même version mais je vous la mets en acoustique et chantées par les Corrs.
Pour changer un pneu.

 







Et puis, quelques heures après j'apprenais la venue prochaine de mon grand breton de poteau. Il viendra me visiter à la fin du mois. La semaine prochaine.

Il y a des jours comme ca. Happiness.

Le lundi matin, je démarrais ma journée avec cette fois une chanson pleine d'entrain et d'optimisme. Dans ses paroles, dans son air, son rythme. Cette fois je pouvais laisser libre cours à mon bonheur d'être à Berlin. Je montais dans le bus pour l'Ambassade de France et un entretien pour une aide à la recherche à l'emploi. Sourire aux lèvres.

La suite de mon lundi, bientot. La chanson pleine d'entrain, maintenant.