Le Morel du jour... la poésie militante
Parce que j'aime François Morel comme j'aime lire, fredonner, penser et réécrire du Brassens.
Parce que moi aussi j'ai un bout du ciel enfermé dans deux cimetières.
Parce que j'ai la même sourde angoisse qui fait qu'on se tourne vers ceux qui ne peuvent plus répondre pour dire son désarroi.