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On connait la chanson : "Quand on est con..."

On connait la chanson : "Quand on est con..."

Je m'excuse auprès de ce salopard ignominieux qu'est Claude Guéant. La connerie ambiante, amiante connerie qui pourrit nos cerveaux et nos coeurs, n'est pas seulement son oeuvre même s'il a fait beaucoup pour notre pays depuis... ouh ! Au moins tout ça !

 

claude-gueant-photo-afp

 

Sa dernière en date, affreuse verrue mettant tout le monde d'accord :

"Les Français, à force d'immigration incontrôlée, ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux, ou bien ils ont le sentiment de voir des pratiques qui s'imposent à eux et qui ne correspondent pas aux règles de notre vie sociale."

 

Tollé (le mot que les journalistes affectionnent particulièrement et que je leur chippe).

Vous avez lu ou entendrez les commentaires du PC et de plusieurs personnes du PS auquel s'ajoutent l'effronterie et l'ironie de Marine. Selon elle, le ministre de l'intérieur, en tenant de tels propos, "pourrait être adhérent d'honneur du FN puisqu'il est touché par la grâce, sauf que cela n'annonce que les prochaines élections". Mais elle estime qu'il ne s'agit que de "l'enfumage habituel sarkozyste", d'un essai de récupération politique "gros comme un câble". Une fois de plus, ça fait mouche (à merde) !

Mais la plus juste des banderilles sera plantée par Jean-Pierre Grand, député villepiniste, qui a qualifié cette phrase "d'insupportable" et "politiquement suicidaire" et dénoncé "une lepénisation au sommet de l'Etat". On avait déjà vu cette expression de "lepénisation au sommet de l'Etat". Triste.

 

 

Et donc, je commence les fesses tea vie thé Brassens avec ce misérable idiot de Guéant. Cette fois c'est auprès du grand Georges que je m'excuse. Mais le Brassens est un produit particulièrement efficace quand il y a de gros amas de crasse. Je fais bien sûr dans la facilité avec cette première chanson. Usée mais jamais vieillie. Rabâchée mais toujours neuve. C'est du Brassens et puis voilà !

 

A bientôt ici pour plus d'infos sur, comme Gainsbourg, un des plus incompris de nos poètes et empêcheurs de penser en con.